« BAD BOY LOVESTORY » devient « MEGA BBL » : 12 titres en plus, même signature, impact décuplé
Ce qu’il faut retenir en un clin d’œil
- 💿 Réédition vinyle 2×LP de BAD BOY LOVESTORY (platine) avec 12 titres supplémentaires.
- 🤝 Featurings de poids : Juliette Armanet, Guy2bezbar, Jul, Luidji, BB Trickz, ThisizLondon.
- 🗓️ Sortie : 7 novembre 2025.
- 🎛️ ADN : pop/R&B/club, storytelling frontal, refrains à emporter.
- 🧭 Pour aller plus loin : 3 reco Limited-Vinyl dans la même constellation.
La pulsation d’un projet qui grandit
Avec « MEGA BBL », Theodora transforme l’essai : son Bad Boy Lovestory — déjà certifié platine — s’ouvre en panoramique. Les 12 nouveaux titres ajoutent des angles : confessions piano-voix, bangers aux basses souples, éclats pop qui font monter la salle d’un cran. Le ton reste direct, viscéral, avec cette façon de dire l’amour et l’armure, la revanche et la vulnérabilité — et toujours une mélodie qui s’agrippe à la mémoire.
Pressage & éditions vinyle : l’objet, le sillon, la scène
Annoncé en vinyle 2×LP, MEGA BBL est pensé pour la platine : une répartition par faces qui alterne respirations R&B et séquences club, et laisse la voix au centre sans écraser les graves. Le pressage double apporte l’espace nécessaire aux chœurs, aux synthés et aux percussions. Côté rareté, il s’agit d’une réédition enrichie (12 titres inédits) : un format naturellement convoité par les fans de l’ère initiale comme par celles et ceux qui découvrent le projet en physique. Les détails de colorways et le label de pressage seront communiqués selon les distributeurs ; la version de référence à privilégier reste celle qui garantit la meilleure tenue du bas du spectre et une coupe dynamique.
Le décor sonore : pop/R&B/club, cœur battant & lumières stroboscopiques
La force de Theodora tient dans cet équilibre rare : écriture cash et production moderne. Sur MEGA BBL, les couches synthétiques flirtent avec des guitares minimalistes ; les batteries alternent groove feutré et kick qui rentre dans le mur ; les ponts ouvrent des fenêtres mélodiques avant le drop. En vinyle, on gagne en lisibilité : hi-hats plus fins, basses qui s’installent, harmonies qui s’épanouissent — et une dramaturgie par faces qui raconte l’ascension, la faille, puis la mue.
Le radar Limited-Vinyl
Nous avons scanné nos archives. Theodora a déjà croisé notre route dans un projet collectif très suivi en fin d’année — une excellente passerelle pour entrer dans son univers élargi. Et dans la même famille sonique, voici trois recommandations à (re)découvrir sur limited-vinyl.fr :
- The Last Race – L’album officiel du GP Explorer (prod. SCH) : un all-star où Theodora apparaît parmi une affiche XXL. Parfait pour situer sa voix dans un écrin multi-genres.
- Luidji – Tristesse Business Saison 1 (Picture Disc) : pour le versant mood & storytelling, voisin de l’intensité émotionnelle que cultive Theodora.
- PLK – Chambre 140 (Triple vinyle) : pour le goût des collaborations et l’énergie urbaine qui dialoguent bien avec les invités de MEGA BBL.
La Boss Lady au centre : repères, disques, influences
Theodora bâtit une discographie où chaque chapitre élargit le spectre : de la confession brute aux architectures club, du hook pop au sound design subtil. Le cœur du projet reste une voix franche, un goût pour les refrains-miroirs et des ponts qui prennent le temps d’élever la chanson. Les invités ne sont pas là pour l’affiche : Juliette Armanet apporte une élégance pop à contre-courant, Guy2bezbar l’impact brut, Jul la science du gimmick mélodique, Luidji l’intimisme nerveux, BB Trickz l’attitude, ThisizLondon la finesse des textures. Résultat : un disque-monde, généreux et mobile.
Ce qui s’écrit maintenant : actu, live, collaborations
La sortie vinyle de MEGA BBL arrive portée par une visibilité accrue : scènes pleines, passages médias, featurings au long cours. L’horizon s’annonce dense (showcases, festivals, collaborations croisées) — l’écosystème créé autour de Bad Boy Lovestory s’étend. Sur scène, l’ADN club/R&B de Theodora trouve son format naturel : drops, silences expressifs, cœurs qui battent à la même mesure. Et si l’objectif déclaré est de marquer les esprits, la mission s’écrit ici, sillon après sillon.







