« Il faut que tu saches » (vinyle) : Slimane passe en grand format, porté par le single « Mieux que moi »
Ce qu’il faut retenir en un clin d’œil
- 🎤 Nouvel album de Slimane, 10 ans de carrière au compteur
- 💥 10 concerts Pleyel complets en quelques heures (20 000 billets écoulés)
- 🎧 Premier extrait : « Mieux que moi » déjà disponible
- 💿 Vinyle annoncé pour le 5 décembre 2025
- 🧭 Pop française & soul contemporaine, écriture intime, refrains fédérateurs
Un disque-étendard, entre confidence et voix qui porte
« Il faut que tu saches » s’annonce comme un jalon : un album qui fait le point, assume l’expérience de scène, et regarde droit devant. Slimane y pousse sa signature — mots à hauteur de regard, mélodies qui s’installent, lignes de chant habitées — avec une production qui respire plus large. Le titre annonce la couleur : dire sans fard, chanter sans détour, laisser les arrangements épaissir l’émotion plutôt que la masquer. À l’écoute de Mieux que moi, on retrouve ce sens des refrains qui se partagent en chœur, sans perdre le grain de l’intime.
Les éditions vinyle : ce que l’on sait (et ce qu’on guette)
La sortie au format vinyle est attendue pour le 5 décembre 2025. À ce stade, l’édition annoncée correspond à l’album au format LP. Les éventuelles variantes (couleur, exclusivité détaillant, insert, pochette alternative) seront précisées à l’approche de la date. Côté pressage, l’attente porte sur une coupe qui laisse de l’air à la voix et tienne le grave des titres plus rythmés — un point crucial pour un disque où les bas et les chœurs doivent rester lisibles. Concernant le label, la communication officielle détaillera la chaîne d’édition et de distribution ; nous mettrons à jour dès que les informations de tirage et d’usine seront confirmées. En somme : un LP pensé pour l’écoute front-to-back, avec un séquençage par faces qui installe une vraie dramaturgie de salon.
Le contexte musical : pop moderne, soul claire, pulsation live
Slimane a cette manière d’articuler pop française et soul contemporaine sans forcer l’équilibre : un piano qui ouvre la porte, des batteries qui avancent, des nappes synthétiques qui épaulent la voix sans la recouvrir. On attend des ballades tendues (voix au premier plan, textes frontaux), des mid-tempos qui poussent le cœur, et quelques accélérations cut pour la scène. Sur platine, cette palette gagne en relief : attaques de cordes plus nettes, hi-hats lisibles, chœurs qui s’ouvrent. Le changement de face devient un reset émotionnel, idéal pour passer de la confidence à l’élévation.
Le coin Limited-Vinyl : 3 recommandations pour rester dans la même température
Nous avons scanné nos contenus récents : au moment d’écrire ces lignes, pas d’article antérieur dédié à Slimane sur limited-vinyl.fr. Pour prolonger l’écoute dans une pop francophone à forte présence vocale et à production soignée, voici trois articles à (re)découvrir sur le site :
- Santa – « Recommence-moi (Édition OR) » : vinyle or exclusif, refrains qui emportent les salles, même exigence de hook et de partage.
- Marine – « Cœur maladroit (Édition Deluxe) » : 2×LP piano-pop & voix mise à nu, parfait pour qui aime les textes à hauteur d’émotion.
- Gaëtan Roussel – « Marjolaine » : écriture claire, pop chaleureuse et sens du motif mélodique, un voisinage naturel pour la platine.
Slimane : 10 ans de disques, un style qui s’est affûté
D’album en album, Slimane a consolidé un triangle gagnant : écriture intime, voix qui porte, production contemporaine. Les derniers chapitres ont accéléré la mue scénique — scénographie plus ample, arrangements pensés pour la salle —, tout en gardant ce tutoiement du public propre à ses chansons. Côté influences, on sent l’amour des grandes ballades pop, une culture R&B moderne qui sculpte le bas du spectre, et une tradition française de la phrase qui percute, dans la lignée des chansonniers qui placent la voix devant l’orchestre.
Ce qui bouge maintenant : Pleyel, « Mieux que moi », et la suite
Le signal est fort : 10 dates à la Salle Pleyel écoulées en quelques heures, et un single déjà sur les ondes. Les prochains jalons devraient mêler annonces live (festivals, Zéniths), sorties de clips et apparitions TV/radio, avec, en filigrane, des jeux de versions (acoustiques, lives) taillés pour l’ère du vinyle. L’album porte un titre-programme — Il faut que tu saches — qui laisse imaginer des morceaux-aveux et des hymnes de partage, exactement ce que la scène réclame et que le sillon sait magnifier.







